Entrainement de Pein

Comme chaque jour, Pein, mystérieux personnage, se tenait là... Debout au sommet de sa grande tour de métal, qui se dressait avec fierté au centre d'Ame. Il se tenait sur un balcon de fer suspendu au dessus d'environ cinquante mètre de vie, la grande structure métallique était plongée dans l'ombre d'un soir sans lumière naturelle, et noyé sous les larmes célestes qu'était la pluie. Quelques lumières diverses, verts, rouges, parfois bleues, éclairaient excentriquement l'endroit.
A vrai dire, il était incorrect de nommé la personne qui se trouvait sur ce balcon "Pein". Car ce n'était qu'un des six corps qu'il possédait. Le Vrai Pein, d'ailleurs, ne faisait pas partie de ses six corps, il restait plongé dans l'ombre de l'anonymat. Pein, il avait bien choisit son nom, qui signifiait la douleur. Il ne fallait pas l'oublier, son passé rimait avec la souffrance, et cela avait fait de lui un véritable homme, puis cet homme était devenu supérieur, il était devenu un dieu, ou plutôt Le Dieu. C'est comme ça qu'on le voyait ici au pays de la pluie, il était leur dieu.

Toutefois il fallait établir des distances entre le mot religieux "Dieu" et le mot qu'utilisait Pein, Car lui n'était pas une divinité religieuse qui avait créer le monde, non, lui était tout autre chose. C'était un Dieu de part sa maturité et son expérience de la vie, mais aussi car son but et ce qui faisait de lui ce qu'il était le rendait grandement différent.
Il n'avait pas oublié tout cela. Et il se sentait nettement supérieur à quiconque du sommet de sa tour. Car il voyait à ses pieds : Le monde qui semblait se prosterner face à sa puissance. L'horizon qui s'offrait à lui était impressionnante, une immense cité, impénétrable, qui s'étalait sur un vaste rayon divers lumière, vertes, rouges, jeunes ou bleues illuminaient les rues et les maisons et un ciel noir, celui de la nuit surplombait le tout, se vidant de son eau, sur la ville dont les rues étaient depuis fort longtemps inondées, peu, certes, car seul les pieds des passants étaient en contact avec l'eau qui coulait dans les rues. Aucune étoile, aucune lune, car l'épais voile nuageux ne permettait à aucune lueur céleste de s'introduire. Pein contrôlait à volonté le temps qu'il faisait à Ame.
Il lui était possible, lorsqu'il pleuvait de savoir qui, se trouvait où, et quand dans son village, et même de reconnaître son Chakra.
Il n'y avait aucun doute à ce sujet, Pein était bel et bien le Dieu de cet endroit.
Le corps de Pein qui se trouvait ici était le principal, il avait les cheveux bruns, orangés, en hérisson.

L'heure était maintenant venue pour Pein d'apprendre de nouvelles techniques. Car il devait profiter au maximum de ses six corps et de sa capacité à utiliser l'élément de son choix. Sa pupille, la première de toute, mère de l'art du ninjutsu, était aussi la plus puissante, c'est pour cela qu'il était ce qu'il était, car il était tout de même : Le Dieu !
Il se rendit à son endroit préféré : La quartier d'Izura, désert depuis de belles et nombreuses décennies. Cette endroit était constamment dissimulé sous un voile de pluie, et d'obscurité. Car les journée étaient relativement courtes à Ame. Le quartier d'Izura était composé de quelques rues, dont il se fichait le nom. Elles descendaient en pente douce vers une place "secrète" dissimulée entre de vieux immeubles de métal abandonnés. L'accès y était formellement interdit, et quiconque désobéissait en s'y rendant, connaissait sans délai le châtiment de leur Dieu. Il pleuvait fortement, en cet endroit, car de cette manière, si la pluie était perturbé, il était possible à Pein de savoir qu'on s'introduisait là où c'était interdit.
Pour s'y rendre il fallait, tout d'abord connaître quelques astuces concernant le village caché d'Ame. Il fallait obligatoirement connaître le style architecturale des bâtiments qui entourait la place, et au moins avoir un plan. A force de s'y rendre, Pein connaissait l'endroit par cœur. Il y avait placé des dizaines de pièges, chacun plus mortel que le précédent.
L'enfant des pluies était sortit de sa grande tour de métal, où il résidait habituellement. Et s'était secrètement rendu dans ce fameux quartier. Face à lui des bâtiment, atteignant des hauteurs vertigineuses s'élevaient. Il s'avança dans le premier et y entra. Il fut au sec. Là il se mit à gravir quelques marches, presque écroulées. Il déboucha dans un long couloir qui paraissait être le premier étage, sur la droite, il y avait une fenêtre ouverte qui donnait sur une petite ruelle inondée. Il l'emprunta, lorsqu'il atterrit dans la ruelle, un "Flitch" familier se fit entendre, c'était le son qu'avait produit ses pieds en touchant l'eau qui s'écoulait. Là il marcha quelques instant en direction du nord, et s'arrêta net. Il attendit quelques instant, puis il contourna quelque chose, qui semblait invisible, puisqu'il contournait un espace vide. Cependant, s'il avait marchait dans cette espace, une volée de Kunai l'aurait transpercée de toute part... Le premier piège. Il continua son ascension, jusqu'à ce qu'il arriva face à une longue échelle de fer, qui descendait dans un bâtiment à toit ouvert. Là il sauta sur le toit de ce bâtiment, et se laissa tomba par l'ouverture qui s'y trouvait. S'il avait emprunté l'échelle, il aurait été foudroyé par le courant qui y passait, et sa mort aurait été certaine. C'était là, le deuxième piège qu'il avait installé.
Il atterrit donc dans ce bâtiment, lequel avait un toit possédant une ouverture carré, et il se trouvait désormais sur une surface lisse, qui n'était autre que de l'eau. Autour de lui, il avait quatre colonne qui soutenait le plafond de ferraille, et il marcha sur l'eau (d'une profondeur de dix-huit mètres) jusqu'à ce qu'il atteigne le rebord, se plaçant donc sous le plafond. Six pièges étaient dissimulés ici, et si Pein n'avait pas suivit au millimètres prêt sa trajectoire, il aurait été emportait sous l'eau et broyé. Ou même écrasé par une lourde masse de plomb s'il était entré en contact avec un fil invisible qu'il avait lui même placé. Sachez que j'en passe.
Il ferma sa main et serra le poing, puis il plaqua sa bague sur laquelle était écrit "Zéro", contre le mur. A ce moment là, une porte de forme circulaire s'ouvrit et il entra. Il suivit ce chemin pendant cinq minutes jusqu'à ce qu'au bout, il aperçoive une lueur, la sortie ! Il sortit donc de ce long couloir qui n'était autre qu'un immense tuyau de couleur bleu foncé, il déboucha dans une tout petite place, d'où partait des milliers de tuyau, qui se dirigeaient dans tout les sens. Il en gravit un, sur lequel était, presque imperceptiblement, gravées les lettres P-E-I-N. Après l'avoir monté pendant quelque minutes il sauta sur un autre, qui était de couleur rouge rouillée. Il suivit son cours, entre deux bâtiments, très à l'étroit, et à une vingtaine de mètre du sol. Quelques fois, de fines gouttelettes de pluies venaient s'écraser sur son visage. Il venait d'éviter une douzaine de pièges... Il arriva à la fin du tuyau et se laissa tombait dans une petite entrée, jusqu'à ce qu'il atteigne le sol, et là, il sortit du bâtiment pour déboucher sur la place d'Izura. Entièrement recouverte d'une couche d'environ dix centimètre d'eau. Au fond, il y avait un long mur, écroulé de ci de là, et quelque colonnes de pierre, elles aussi dans un piteux état. Il se mit au centre de la place et s'assit en tailleur, les jambes croisées. Il ne bougea pas pendant toute la nuit, puis il ne bougea pas non plus la journée d'après.

Mais vint, le moment où il se leva, et invoqua ses six autres corps, tous étaient là. Le principal s'assit et fit s'élèvé douze colonne de pierre décorés de motifs inconnus. L'un des corps composa des signes et une des pierre sembla réagir. Ce corps ci exécuta la technique suivante :

Katon, Jikoku Azeï

Le souffle du feu infernal déferla dans toute la place, mais nul, à l'extérieur ne pouvait s'en rendre compte car les immenses bâtiment qui entourait l'endroit empêchait de voir quoi que ce soit. Donc de la bouche de ce corps si, un énorme souffle de feu jaillit, balayant l'endroit. Un autre des corps composa une multitude de signe et gonfla ses poumon d'une masse si massive d'air que la subir serait mortelle. Un des piliers sembla réagir.

Fuuton, Bufukuji

La tempête divine. Lorsque le corps qui venait de gonfler ses poumons à bloc relâcha tout cet air. Ce fut comme un choc titanesque, et le bruit fut d'une violence incomparable. Combinée avec la technique Katon, ce jutsu serait mortel. Il pouvait faire d'envolé un village entier. Un autre des corps, fit, à son tour, une multitude de signe incantatoires. Il concentra sa force dans ses bras, et une colonne sembla réagir, trois colonnes avaient réagit jusqu'à lors. Brutalement, il frappa le sol avec ses deux bras.

Doton, Doshin Ruuto

La secousse des titans. Le semble se mit à trembler d'une telle manière qu'il se serait fissurer de toute parts et se serait déformé en tout coin, si les colonnes n'avait pas endurci sa structure. Il aurai été difficile de résister à une telle attaque. Un autre des corps, le quatrième, fit comme ses partenaires, et se mit en place pour effectuer son jutsu.

Suiton, Keïru Mizukari

Le grand torrent aqueux. Toute l'eau présente se souleva et se déversa avec une vitesse comparable à celle d'un torrent. Puissante était cette attaque car elle permettait à son utilisateur de manipuler l'eau présente comme ile souhaitait. Du moins pendant une courte durée. Le cinquième corps, fut déjà prêt à utiliser sa technique.

Raiton, Orinami

Plusieurs barres de fers sortirent du sol et formèrent une cage, dans laquelle de puissants éclairs apparurent électrocutant tout ce qui était consistant. Le sixième corps, le principal cessa sa technique et les douze piliers disparurent. La pluie s'était écoulée, il était prêt... Il s'en retourna vers sa Grande Tour de Métal...

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